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L’art et la foi d’un Neuchâtelois

Un beau livre tire de l’ombre les œuvres religieuses de Théophile Robert.

23 déc. 2016, 01:38
Pas moins de 16 pages sont consacrées à l’église catholique de Saint-Blaise, joyau de l’art sacré de Théophile Robert. Pierre-Michel Delessert

LE CONTEXTE
Dans le livre «Théophile Robert et la renaissance de l’art sacré», Silvia Amstutz-Peduto met en lumière pour la première fois les œuvres religieuses du Neuchâtelois. Un art qui s’inscrit dans «la guerre sainte» menée par Alexandre Cingria et son groupe de Saint-Luc.

Petit-neveu de Léopold Robert et fils de Léo-Paul, Théophile Robert (1879-1954) a vécu une enfance baignée d’art et de piété entre Bienne et Neuchâtel. Artiste de renommée internationale, exposé dans les galeries les plus courues de Paris où il s’installe en 1918, le peintre connaît rapidement le succès. Et même la gloire.

Converti au catholicisme

Pourtant, il est un volet de son œuvre méconnu et peu étudié: les décorations d’églises et chemins de croix, auxquels il consacre presque exclusivement dix ans de sa vie, dès son retour au pays en 1929.

Le Neuchâtelois fait de ses œuvres sacrées une question théologique cruciale, hors de toutes considérations...

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