Homme ou femme (dès 12 ans), amateurs ou membres avisés des clubs, chacun est invité à participer ou à s’initier au kin-ball. Cela à l‘occasion de la cinquième édition de la Nuit du kin ball qui aura lieu samedi. Venu tout droit du Québec, ce sport était encore peu connu il y a dix ans. Voir trois équipes de quatre joueurs se passer un ballon de près de 1m20 et d’un poids d’un kilo, avec pour objectif qu’il ne tombe jamais, en étonnait plus d’un. Mais grâce au Canadien Martin Barrette (qui n’est plus actif dans le milieu), Neuchâtel est devenu le berceau de cette discipline en Suisse. En Suisse romande surtout, où, avec ses neuf clubs, il suscite un plus grand intérêt. «Peut-être en raison de ses origines», suppose Adam Roussey, membre du comité du club de Neuchâtel.
Le kin-ball après le NUC
Entraîneur du NUC de 2003 à...