Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Je voulais me défaire du cliché du mec bloqué»

Orelsan devient, avec «La fête est finie», le grand seigneur du hip-hop hexagonal actuel. Moins de vitriol, plus de conscience…

01 déc. 2017, 01:56
DATA_ART_11743037

Il est partout. Sur les réseaux sociaux où la mise en culture des clips de «Basique» et «Tout va bien» donne à sa musique un potentiel viral sans précédent dans le rap français. Sur les télévisions aussi, en prime time, sur les ondes radio, en une des médias. Comme si Orelsan, après quinze ans de route plus ou moins sinueuse, plus ou moins encaissée, voyait enfin surgir devant lui un horizon dégagé. Il faut dire que «La fête est finie», constat amer mais volontaire d’un homme enfin adulte qui se découvre un sens des responsabilités, est une réussite totale où chaque ligne fait mouche.

Une inspiration valaisanne

Il est partout, et ce jour-là, il est à Lausanne, en promo. Pour défendre son nouvel album et aussi pour porter l’image d’une marque de vêtements qu’il vient de créer avec Sébastian Strappazzon, un pote du coin. «Brandé» de pied en cap, mèche...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias