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«Je trouve la beauté dans le chaos»

Jeans élimés, nonchalance trompeuse, fulgurance mélodique, l’américain Kurt Vile était hier soir l’attraction majeure du Lab. Interview.

12 juil. 2016, 00:21
Kurt Vile

L’année dernière, son alter ego Adam Granduciel avait fait imploser de bonheur le Lab avec un concert de The War On Drugs qui restera inscrit dans la légende du Montreux Jazz. Hier soir, Kurt Vile ¬ cofondateur qui chemine en solo depuis 2009 ¬ donnait au public le versant plus rugueux, génialement foutraque, d’une même planète mélodique, de ce songwriting racé des banlieues ouvrières américaines, de cet héritage inépuisable légué par Springsteen autant que par les figures de l’indie rock des années 90 que sont les Pixies, Dinosaur Jr. ou Sonic Youth. Des icônes qui se disent toutes ouvertement fans de Kurt Vile…

Kurt Vile, lorsqu’on a été un fan de musique, qu’on a, j’imagine, épinglé des posters de ses héros aux murs de sa chambre et qu’un jour ces mêmes héros vous disent aimer votre musique, quelle sensation cela fait-il?

Ouais… C’est assez dingue. J’ai vraiment eu une chance...

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