Des concerts pour tous les goûts six jours durant, une météo bienveillante et 230 000 spectateurs au rendez-vous sur la plaine de l’Asse, à Nyon: le Paléo surfe toujours sur le succès.
Les années passent et se ressemblent pour le Paléo festival. Lors de la traditionnelle conférence de presse de clôture, hier, Daniel Rossellat s’excusait presque d’avoir à nouveau à dresser un bilan positif de cette 41e édition. «Je sais que ça peut devenir lassant d’entendre toujours que ça se passe bien», s’est amusé le malicieux boss, «mais j’ai senti beaucoup de gens heureux, dans le public et sur scène.» Pourtant, rien n’était gagné d’avance. Revenir après une édition anniversaire présentait le risque «de se retrouver avec un champagne sans bulles». Alors la cuvée 2016 restera-t-elle comme un millésime?
Bonheur celtique
Sans doute pour les métalleux et les amateurs de musique «lourde», qui n’avaient plus foulé la plaine...