Certains choisissent de le servir en amateurs. Ils y cherchent, parfois, un outil pour gagner en assurance. D’autres, en revanche, rêvent de faire carrière, de déclamer «To be or not to be» devant des salles enthousiastes... Qu’à cela ne tienne. Les rampes d’accès au théâtre sont nombreuses et variées. L’école du Théâtre populaire romand (TPR), à La Chaux-de-Fonds, en est une, qui collabore depuis 2010 avec l’école Ton sur Ton, un précurseur en matière de cursus préprofessionnel. Ce tremplin vers les hautes écoles a, par exemple, propulsé Sandro de Feo sur le seuil du Conservatoire national de théâtre de Liège et Aurore Faivre sur celui des Teintureries à Lausanne (témoignages ci-contre).
«A la bonne place»
Pour espérer fouler ces planches préparatoires, il faut afficher 17 ans au compteur au moins. Comme on n’entre pas dans les hautes écoles avant 18 ans et que la formation préprofessionnelle s’étend sur une ou...