Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Des histoires tendres, espiègles ou magiques

On grelotte en février? On se réfugie dans les salles, où fleurissent plusieurs spectacles jeune public. Notre sélection.

01 févr. 2018, 00:01
DATA_ART_11900479

il s’était égaré sur une voie sérieuse, balisée par une HEC et Sciences Po. Elle avait baigné dans la musique et la danse baroques, et beaucoup rêvé devant «Les enfants du paradis» de Carné. Puis Cécile Roussat et Julien Lubek ont convergé vers l’Ecole internationale de mimodrame à Paris... Eveillés à cet art sans parole par Marcel Marceau, désormais soudés comme l’Auguste pourrait l’être au Pierrot lunaire, ils ont enrichi leur langage corporel et théâtral. Et créé, en 2008, leur propre compagnie pour faire éclore des spectacles visuels, poétiques et pluridisciplinaires. A l’image d’«Au bonheur des vivants», accueilli dimanche au Passage dans la foulée des «Ames nocturnes». Coup de fil.

Qu’est-ce qui a servi d’amorce à ce spectacle? Une impro? Une image?

Julien Lubek: Cécile et moi partons beaucoup des images, en effet. Mais «Au bonheur des vivants» s’inscrit, aussi, dans la continuité des «Ames nocturnes», notre duo précédent....

Votre publicité ici avec IMPACT_medias