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Blonde Redhead, des New-Yorkais sur un toit brû lant

Avec "Barragan", son nouvel opus, le trio poursuit sa quête d'une pop élégante et racée.

08 sept. 2014, 00:01
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Il n'y a qu'à New York qu'un groupe comme Blonde Red head a pu voir le jour, tant cette ville favorise la création débridée comme les rencontres insolites. En l'occurrence, celle survenue entre des jumeaux italiens (Simone et Amadeo Pace) et une étudiante en art japonaise (Kazu Makino), dans un restaurant de spécialités italiennes de Manhattan, il y a une vingtaine d'années.

Même s'il a essayé d'agréger d'autres participants depuis, c'est sous la forme de ce trio originel que Blonde Redhead continue d'opérer aujourd'hui. "Barragan" (Kobalt/Pias), son nouvel album, fait suite au mal aimé "Penny Sparkle".

Apparus en 1995 avec un album éponyme qui faisait feu de guitares abrasives bien dans la manière de Sonic Youth, Blonde Redhead n'a eu de cesse que de bousculer son agencement. Quitte à effectuer des sauts stylistiques radicaux. Considéré comme son meilleur disque, "Misery is a Butterfly", sorti en 2004, est la clé de...

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