Dans son dernier roman, «Extinction», Thomas Bernhard se fait le liquidateur de son passé, de sa famille, de ses origines autrichiennes. Un règlement de compte rageur et suffocant, un art de l'exagération porté par l'incomparable Serge Merlin, ce soir à 20h15 au Théâtre de La Chaux-de-Fonds. dbo
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