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La dissidence selon Lydia Lunch entre histoire et hystérie

Lydia Lunch sera sur la scène de la Case à chocs, à Neuchâtel, ce vendredi 7 octobre.

05 oct. 2016, 21:07
/ Màj. le 06 oct. 2016 à 07:00
La dissidence selon Lydia Lunch...

Figure majeure de la No Wave, Lydia Lunch a su faire durer l’épiphénomène new yorkais sans en trahir la fulgurance. Sur la scène de la Case à chocs, ce vendredi 7 octobre,  elle promet une performance mêlant spoken words et batterie, « Brutal Measures » .

Depuis près de 40 ans,  la dissidente touche à tout (musique, poésie, littérature, cinéma)  alimente les bouillonnements du courant qui l’a vu naître. Musicienne, elle l’est bien sûr du fond des tripes et du fond des âges. Mais Lydia Lunch se voit plutôt comme « une historienne, une historienne politique, une historienne de mes temps personnels, de l’hystérie sexuelle ou de l’hystérie psychique. » Des propos pas du tout hystériques à lire dans  L’Express et  L’Impartial du 6 octobre.

 

 

Infos pratiques:  Neuchâtel, Case à chocs: vendredi dès 21h: Lydia Lunch & Weasel Walter; Jean-Louis Costes; Usé; the Kon’s. A l'Interlope, 18h: rencontre avec Lydia Lunch. Samedi, dès 22h: the Driver; la Fleur.

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