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Les bad boys s'approprient des montres de luxe suisses

Audemars Piguet lance une série spéciale conçue avec le joueur de basketball américain LeBron James. Décryptage d'une association qui en dit long sur le choix des idoles d'aujourd'hui.

14 oct. 2013, 00:01
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L'horlogerie suisse serait-elle le secteur le plus conservateur au monde ou le plus audacieux? Mystère. Le story telling vertigineux engendré par ces mécanismes lilliputiens qui n'ont guère évolué depuis quatre siècles, que reste-t-il en termes d'image et de communication?

Du chic: "Jamais vous ne posséderez complètement une Patek Philippe." Du choc: "Don't crack under pressure" ou le fameux "Success it's a mind game" de TAG Heuer au milieu des années 1990. Un marketing de génie: "Depuis 1735, il n'y a pas eu de montres Blancpain à quartz. Et il n'y en aura jamais", mis en place par Jean-Claude Biver à la fin des années 1980...

Une approche singulière

Le 27 septembre dernier à Miami, lors du lancement du chronographe Royal Oak Offshore LeBron James, en présence de l'intéressé, Audemars Piguet a ajouté une pierre à une stratégie atypique amorcée il y a dix ans.

Face à une assistance médusée de...

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