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Il est une conscience de la science

Le professeur français Gilles-Eric Seralini ferraille contre certains OGM.

12 mars 2016, 00:58
ARCHIVE - Aus Toepfen mit genmanipulierten Weizenpflanzen werden im September 2000 in der Eidgenoessischen Forschungsanstalt fuer Agraroekologie und Landbau Reckenholz (FAL) bei Zuerich Bodenproben entnommen. - In der landwirtschaftlichen Forschungsanstalt Zuerich-Reckenholz kann im Fruehling versuchsweise gentechnisch veraenderter Weizen angesaet werden. Das Bundesamt fuer Umwelt (BAFU) hat Gesuche von Universitaet und ETH Zuerich bewilligt, wie das BAFU heute Donnerstag, 7. Februar 2008, mitteilte. (KEYSTONE/Martin Ruetschi)  *** Local Caption *** disseminations experimentales d'OGM  dans la station de recherche de l'Universite et l'ecole polytechnique federale de de Zurich a Reckenholz SCHWEIZ GENTECH-WEIZEN FREISETZUNG

Une association de scientifiques allemands lui a décerné un prix de «lanceur d’alerte». Mercredi, en Californie, élu par 300 médecins, praticiens et chercheurs, il a reçu le prix Théo Colborn (lire ci-dessous) pour récompenser ses travaux, qui défendent «la santé environnementale de la planète par l’excellence scientifique, le courage, la ténacité et l’activisme».

Le professeur Gilles-Eric Seralini est, aux côtés du purin d’ortie, le meilleur ennemi des grands noms de l’industrie chimique, un empêcheur de désherber en rond, un pourfendeur de certains tripatouillages en matière d’organismes génétiquement modifiés (OGM). Une de ses études sur leur nocivité, réalisée en 2012, avait fait grand bruit et nourri la polémique.

Ce trublion se sert de la science pour démonter les vérités révélées de la science. Il apparaît comme un hérétique au milieu des prêtres d’éprouvettes en blouse blanche, un Cassandre des scandales sanitaires à venir.

Et s’il est chercheur à l’institut...

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