L'information a été révélée hier par la «Tribune de Genève». Quelques photos de la corne figurent sur la page internet du site d'enchères. Un court texte les accompagne, signalant sur le mode pamphlétaire que «les squatters n'ont plus le monopole du stupre, car nous, princes des régences immobilières, ferons la loi pour la roture!».
Malek Adjadj, l'avocat du propriétaire des trois immeubles occupés par Rhino, a déclaré à Radio Lac que la corne n'avait pas été mise en vente. Pour lui, il s'agit d'un canular qui viserait à traîner une nouvelle fois son client dans la boue. /ats