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Le journal intime en Suisse romande depuis Henri-Frédéric Hamiel

A la suite de Jean-Jacques Rousseau, le territoire romand serait-il propice au récit autobiographique? Lumière sur Henri-Frédéric Amiel, quelques diaristes et leur rapport à la mémoire, même infidèle.

17 août 2020, 20:30
c’est son journal intime qui a rendu célèbre Henri-Frédéric Amiel

Professeur d’esthétique et de littérature française à l’Université de Genève, il a publié de la poésie, des études historiques et des essais philosophiques. Mais c’est son journal intime qui a rendu célèbre Henri-Frédéric Amiel, né en 1821 à Genève, et mort en 1881 dans la même ville. D’abord publiés sous une forme abrégée après son décès en 1882 grâce à son amie Fanny Mercier et au critique Edmond Shérer, ses écrits personnels, monumentaux, ont vu le jour dans leur totalité (près de 17_000 pages) en douze volumes aux éditions de l’Age d’homme.

Paysages genevois

Dans l’extrait publié dans «Les Moments littéraires» introduits par Jean-François Duval, et
consacrés aux diaristes suisses romands, Henri-Frédéric Amiel décrit avec poésie les paysages qui l’entourent, en l’occurrence ceux de Charnex (ou Chernex), avant son retour de vacances à Genève.

Il raconte également sa rencontre avec Elisa Guédin, qui donnera naissance à une riche correspondance, publiée...

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