Nouvel avatar des productions «made in USA», qui réactualisent les dessins animés d’antan sous une forme hybride que les zélateurs du franglais nomment «live action», «Dora et la cité perdue» constitue l’adaptation d’une série télé pour (petits) enfants diffusée dans le monde (presque) entier au cours des années 2000.
A caractère éducatif, cette série avait pour objectif de sensibiliser les plus jeunes à l’apprentissage d’une langue étrangère, par le biais des aventures d’une fillette de 8 ans partant en exploration avec une carte géographique douée de la parole. Pour mémoire, chacun des 117 épisodes réalisés à ce jour se terminait par une petite chanson intitulée «C’est gagné».
Dora a grandi
Histoire d’augmenter son rendement financier, ses décideurs ajoutent aujourd’hui une version cinématographique aux multiples déclinaisons déjà existantes (jeux vidéo, livres, figurines). Dans l’idée d’élargir son public, ils en ont vieilli l’héroïne de quelques années… Arrivée à l’adolescence, Dora (Isabela Moner)...