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«Il ne faut jamais faire la vanne de trop»

Mohamed Hamidi signe une nouvelle comédie sociale qui dessoude les clichés et les préjugés avec un humour tendre et respectueux. Rencontre.

27 févr. 2019, 00:01
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Né à Bondy, enseignant en économie, éducateur, organisateur du Bondy Blog et directeur artistique du festival Marrakech du rire, Mohamed Hamidi est passé à la réalisation avec la complicité de Jamel Debbouze, dont il est le collaborateur artistique. Rencontre à l’occasion de sa nouvelle comédie.

Mohamed Hamidi, pour quelle raison préférez-vous la comédie?

J’ai un passé un peu militant, où j’ai essayé de rapprocher les gens. J’essaie de faire la même chose au cinéma et je suis né dans un quartier où on riait beaucoup. C’était un peu un instinct de survie. Quand on est mille enfants, il y a plusieurs manières de s’illustrer: on est soit fort, soit fou, soit marrant. En plus, l’humour peut faire passer des valeurs de manière très fine. Même s’il faut parfois grossir le trait, on peut dire beaucoup de choses, et de façon moins directe que dans le drame. Contrairement à ce...

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