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Citadine d’altitude

Eté comme hiver, Innsbruck surfe sur ses charmes tyroliens.

22 juin 2019, 00:01
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On n’aime pas trop le concept de la ville à la montagne, même si le facétieux Alphonse Allais conseillait de défier la pollution en allant bâtir là où l’air est plus pur. Les rutilantes façades d’Innsbruck n’ont pas usurpé la place d’anciens mazots ou de quelque hameau séculier. Les plus anciennes sont nées bien avant l’essor du tourisme et l’appétit des promoteurs contemporains. Elles sont le fait d’un prince dont on célèbre cette année le 500e anniversaire de la disparition (lire encadré).

Bien sûr, l’agglomération s’est développée – notamment à la faveur des Jeux olympiques de 1964 et 1976 – au point de devenir la capitale du Tyrol, mais son cœur historique a gardé son âme médiévale, Renaissance et baroque; un charme qui fait fondre les Japonais de passage, avides de selfies face au Petit Toit d’or:

«Les tuiles, c’est du 24 carats?». Pour le guide, à question attendue,...

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