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Vive les fermetures éclair!

21 sept. 2011, 07:59
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C'est aujourd'hui que la guerre des "guerres des boutons" entre dans sa phase décisive avec la sortie de la version de Christophe Barratier, une semaine après celle de Yann Samuell, laquelle nous a plutôt laissés sur notre faim. A notre sens, le réalisateur des "Choristes" n'arrive à guère mieux, même s'il a pris plus de liberté par rapport à l'ouvrage de référence dont le souvenir se mêle d'ailleurs confusément au film culte d'Yves Robert. Plaçant l'action dans la France occupée de 1944, Christophe Barratier met en effet en miroir la guéguerre des sales gamins et celle autrement dramatique dont sont victimes leurs parents. Même si l'on y coupe plus de boutons, l'enjeu se focalise sur une petite fille juive hébergée en cachette par la belle mercière. Cessant les enfantillages, petits et grands vont faire cause commune pour sauver la fillette de la déportation. Bien plus que de voir les mioches...
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