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Un amour éperdu dans le désert

21 mars 2018, 00:01
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Né en Tanzanie, Anup Singh a grandi à Bombay avant d’émigrer en Grande-Bretagne, puis de partir étudier le cinéma à Bombay et à Pune. Après «The Name of a River», un premier long métrage documentaire sur la vie et l’œuvre du réalisateur indien Ritwik Ghatak, il passe à la fiction avec «Le secret de Kanwar», un drame social au cœur de l’Inde patriarcale des années 50, porté par Irrfan Khan, notamment révélé dans «Lunchbox». Dans «Le chant des scorpions», le cinéaste retrouve le célèbre acteur indien. Face à lui, la comédienne iranienne Golshifteh Farahani («A propos d’Elly») se révèle une nouvelle fois troublante de justesse.

Art ancestral

Guérisseuse et sage-femme de la communauté Sindhi, Nooran apprend de sa grand-mère l’art ancestral des chants qui soignent les piqûres de scorpion. Aadam, un marchand de dromadaires d’une tribu rivale, tombe éperdument amoureux d’elle, mais avant qu’il n’ait le temps de la séduire,...

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