Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

La rébellion ne fait pas la Force

Savoureusement old school, le film dérivé de «La guerre des étoiles» souffre d’un manque de chevaliers Jedi et d’un scénario aussi répétitif que simpliste.

14 déc. 2016, 00:58
Rogue One: A Star Wars Story



Jyn Erso (Felicity Jones) 



Ph: Jonathan Olley



©Lucasfilm LFL 2016.starwarstory

Dans «Le réveil de la Force», le septième volet de leur saga sonnante et trébuchante sorti l’an dernier, George Lucas et compagnie avaient su renouer avec la patine old school des tout premiers épisodes de leur mythique «space opera», tel que l’on nomme les superproductions SF qui mêlent effets spéciaux et scènes d’action spectaculaires. Rebelote avec le spin-off (film dérivé) «Rogue One», dont la réalisation a été confiée à Gareth Edwards, fan de la saga dès l’enfance, spécialiste ès effets spéciaux et, par ailleurs, auteur d’un «Godzilla» perclus de combats.

Question cruciale

Qu’est-il arrivé aux plans volés de l’Etoile noire avant que le petit robot R2-D2 ne les planque si bien dans l’épisode IV de «La guerre des étoiles» en 1977? Jusqu’ici, personne ne s’était vraiment posé cette question cruciale à part Lucas et Edwards. Désireux d’y répondre, l’orchestrateur en chef et son réalisateur en titre nous plongent dans la...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias