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«La limite entre le bien et le mal est sans cesse brouillée»

Dans «L’Intrusa», le cinéaste Leonardo Di Costanzo décrit le dilemme d’une éducatrice confrontée à une réalité complexe. Un chef-d’œuvre de cinéma éthique, à voir à Neuchâtel et à La Chaux-de-Fonds.

06 févr. 2018, 00:01
Set del film "L'Intrusa" di Leonardo di Costanzo.
Nella foto Raffaella Giordano.
foto di Gianni Fiorito
Questa fotografia v® solo per uso editoriale, il  diritto d'autore v® della societv† cinematografica e del fotografo assegnato dalla societv† di produzione del film  e puv= essere riprodotto solo da pubblicazioni in concomitanza con la promozione del film. 
E’ obbligatoria la menzione  dell’autore- fotografo: Gianni Fiorito.

Quelle est la genèse de «L’Intrusa» et pourquoi l’avoir tourné à Naples?

La plupart des films que j’ai faits, je les ai tournés à Naples. C’est ma ville, et je ne peux raconter que les réalités que je connais. L’histoire de «L’intrusa» s’est réellement passée. On me l’a racontée. Elle est ancrée dans l’univers du bénévolat et du volontariat qui est particulier, et c’est un sujet qui m’intéresse depuis très longtemps. Les bénévoles sont des personnes qui occupent une place très importante dans la société actuelle, parce qu’ils pallient des manques. Ils sont confrontés quotidiennement aux besoins de gens qu’on considère souvent comme dangereux et expérimentent sur le terrain des mutations auxquelles nous ne voulons pas prêter attention. On devrait beaucoup plus les écouter!

A voir votre film, ils représenteraient les vrais personnages tragiques d’aujourd’hui?

Absolument. Ces gens sont toujours confrontés à de grands dilemmes éthiques. Qu’est-ce qu’on fait quand...

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