Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

De la solitude des corps au Venezuela

04 mai 2016, 01:03
film

Fils du célèbre artiste peintre Oswaldo Vigas, Lorenzo Vigas, cinéaste vénézuélien installé au Mexique, a d’abord tourné des documentaires, avant de se faire connaître en 2003 au Festival de Cannes avec «Les éléphants n’oublient jamais», un court métrage fantastique sur un père qui ne reconnaît pas ses enfants, produit par Guillermo Arriaga (longtemps scénariste d’Alejandro González Iñárritu).

Lauréat du Lion d’or à la dernière Mostra de Venise, «Les amants de Caracas», le premier long métrage de Vigas, raconte de nouveau l’histoire d’un père absent, mais en mêlant cette fois le sexe et la solitude… Spécialiste en prothèses dentaires à Caracas, Armando, un homme aisé d’âge mûr, aime racoler les jeunes garçons et leur offrir de l’argent, mais uniquement pour les regarder. Il ne veut pas les toucher. Un jour, il rencontre Elder, un jeune délinquant de l’un des quartiers les plus dangereux de Caracas.

Avec réalisme

A travers la confrontation...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias