«Nous travaillons, nous obtenons d'excellents résultats, qui sont ensuite avalés par le franc», explique Nayla Hayek au «Bund» et au «Tages-Anzeiger». De nombreuses places de travail sont menacées en Suisse, avertit-elle. «La situation n'est plus si anodine, nous devons gentiment nous réveiller.»
La fille du créateur de Swatch Group Nicolas Hayek estime qu'il ne lui appartient pas de trouver des solutions. Elle appelle notamment le ministre de l'Economie Johann Schneider-Ammann, ancien administrateur du groupe biennois, à réagir. «Personne n'entreprend quelque chose, les gens semblent paralysés», dénonce-t-elle. /ats
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