Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Lancée sur le web, la marque horlogère Baume ne peut pas se passer des boutiques

Dernière née des marques horlogères du groupe Richemont, Baume s’est lancée sur le web en 2018 pour proposer un produit durable et simple aux «millennials», jeune génération tant convoitée par l’horlogerie. Mais un an après, le modèle d’affaires doit évoluer.

15 avr. 2019, 12:00
Uniquement vendue en quartz jusqu'ici, la montre Baume se dote de modèles mécaniques.

Le modèle d’affaire des montres Baume évolue. Emanation de Baume et Mercier, la jeune marque horlogère est lancée en juin 2018 par le groupe Richemont. Le géant genevois du luxe, deuxième employeur privé du canton de Neuchâtel (avec des enseignes comme Cartier, Piaget, Panerai, etc.), présente alors une marque estampillée «jeune», grâce à sa boutique en ligne, son grand choix de personnalisations, et son orientation «végane» qui privilégie les matériaux recyclés au cuir.

Elle étonnait aussi, en terre horlogère, en optant pour des mouvements quartz japonais, et un assemblage aux Pays-Bas. La raison invoquée était le segment de prix, entre 500 et 1000 francs. Exit, donc, le swiss made.

Un an plus tard, certains de ces principes demeurent, mais la stratégie a évolué. «Nous avons modifié le modèle d’affaire initial», confirme la directrice Marie Chassot.

A lire aussi: Pourquoi Richemont lance une marque bon marché

Des montres mécaniques

Les mouvements...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias