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La fièvre s'empare des participants à Baselworld

Deux jours de Salon mondial de l'horlogerie et de la bijouterie déjà. Les esprits ne s'échauffent pas, mais les marques redoublent d'efforts pour séduire. Tour d'horizon non exhaustif de quelques bonnes surprises.

18 mars 2016, 13:25
/ Màj. le 18 mars 2016 à 17:00
Les visiteurs n'hésitent pas à "mitrailler" les vitrines.

On a évoqué il y a peu la pièce qui fait beaucoup causer les observateurs, la Grand Deck Marine Tourbillon de la maison locloise Ulysse Nardin. Un bijou technique et esthétique qui fait la part belle aux prouesses techniques et artistique. Louis Moinet fait aussi bien avec la Black Gold Derrick. Son mécanisme, qui rappelle l'extraction du pétrole, est enrichi d'un baril. Il tourne sur lui-même et égrène les secondes. Limité à 28 pièces, le modèle vaut 260 000 francs.

Si la majorité des amateurs d'horlogerie ne pourra pas s'offrir ces pièces d'exception, ils pourront faire un tour chez Louis Erard. La marque du Noirmont propose des modèles abordables et empreints de tradition, notamment un régulateur qui allie savoir-faire et tradition. A moins de 2000 francs, ils sont plus abordables et permettent aussi de se distinguer.

On ne parle pas que de modèles dans les travées de Baselworld. Bien sûr de montres connectées, mais de mouvements mécaniques aussi. La société Ronda, spécialisée dans le mouvement quartz haut de gamme, fait son retour dans le mécanique. Elle a dévoilé ce matin son nouveau calibre. Il sera proposé dès la fin de l'année aux marques intéressées. "Nous devons être compétitifs pour les décennies à venir", relève son directeur général Eric Mosset. Quelques dizaines de milliers de pièces devraient être produites l'an prochain.

Ainsi va Baselworld. Certains s'extasient sur la beauté des montres, d'autres discutent en coulisses des enjeux de demain. Le tout dans une fourmilière de laquelle il est difficile de tirer de véritables tendances économiques. 

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