A Bâle, Hermès, marque éponyme du groupe, envoie un double message, relève son directeur général Laurent Dordet. Elle continue, d’une part, de bâtir sa ligne Slim, lancée l’année dernière à pareille époque. «Ça fait quatre à cinq mois que les montres sont arrivées en magasin. Ça marche aussi bien pour les hommes que pour les femmes», dévoile-t-il.
Le deuxième axe de la campagne porte sur les savoir-faire. Horloger en premier lieu, puisque la marque basée à Brugg près de Bienne, dispose de ses propres mouvements, cadrans, boîtes et bracelets. Les premiers grâce à sa participation dans Vaucher Manufacture à Fleurier. Les deuxièmes et troisièmes en raison des acquisitions du fabricant de cadrans Nateber et de boîtes Joseph Erard. Quant aux derniers, ils sont produits dans les ateliers Hermès de Brugg. Les montres Hermès sont, du coup, conçues 100% en interne et les composants proviennent à 98% de la maison....