Guido Terreni devient CEO de Parmigiani
Guido Terreni vient d’être nommé à la tête de Parmigiani, à Fleurier. Il succède à Davide Traxler, qui était en poste...
26.01.2021 18:17 Où va l'horlogerie ?Horlogerie Après une année 2020 difficile, le joaillier et horloger Bulgari basé à Neuchâtel espère revenir en 2021 aux niveaux d’avant la pandémie de coronavirus.
Si 2020 a été une année éprouvante pour de nombreux secteurs économiques, le joaillier et horloger Bulgari, filiale du groupe LVMH basée à Neuchâtel, espère revenir dès 2021 aux niveaux d’avant la crise sanitaire. Certains marchés clés comme la Chine et le Japon ainsi que le développement de la vente en ligne devraient soutenir la performance de la division horlogère.
«Trimestre après trimestre, nous devrions observer en 2021 une amélioration des recettes, grâce notamment à la progression des campagnes de vaccination», a fait observer le directeur général de Bulgari, Jean-Christophe Babin, en marge de la LVMH watch week, un salon numérique au cours duquel les marques horlogères du groupe présentent leurs nouveaux garde-temps aux détaillants et aux médias.
«Nous allons réaliser une hausse des ventes à deux chiffres et nous espérons nous rapprocher des niveaux de 2019», a précisé le patron, dont l’entreprise compte environ 400 collaborateurs en Suisse et 400 autres dans le monde au sein de sa division horlogerie.
Bulgari, comme l’ensemble du secteur du luxe, a beaucoup souffert en 2020 de l’arrêt de la production, de la fermeture des boutiques et de l’absence de touristes, un moteur clé de la croissance de l’industrie. Mardi soir, LVMH a annoncé que sa division joaillerie-horlogerie, dont font également partie TAG Heuer, Hublot et Zenith, avait accusé en 2020 une chute de 24%, à 4,7 milliards de francs. Sur le dernier trimestre, la baisse s’est limitée à 2%.
L’Empire du Milieu devrait continuer à jouer son rôle de locomotive de l’industrie du luxe. «Nous avons encore beaucoup de potentiel de croissance en Chine pour l’horlogerie», a souligné l’ancien patron de TAG Heuer. Quant au Japon, au Moyen-Orient et aux Etats-Unis, des marchés tout aussi importants pour l’industrie horlogère, devraient également porter la croissance de Bulgari en 2021.
«Nous projetons de recruter du personnel en 2022 afin d’augmenter la production de 20% sur nos sites de Saignelégier et du Sentier», a affirmé Jean-Christophe Babin, sans détailler le nombre de personnes qui pourraient venir renforcer les rangs de Bulgari horlogerie. Ce dernier a produit entre 40 000 et 80 000 montres en 2019. Le prix moyen d’une montre de la marque est d’environ 10 000 euros.
S’agissant de la vente en ligne, un canal qui s’est beaucoup développé durant la crise sanitaire, le directeur général a relevé que Bulgari couvrait désormais 85% de ses marchés. «Nous lancerons notre boutique en ligne pour la Russie dans quelques semaines. C’est l’un des derniers grands marchés qui nous manquait», a-t-il déclaré, tout en admettant que la contribution du e-commerce restait modeste, «en dessous des 10%».
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