Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Parents et retraités: ils payent les études

De plus en plus de jeunes sont encore en formation lorsque leurs géniteurs arrivent à l’âge de la retraite.

22 janv. 2019, 00:01
THEMENBILD --- Studierende an der Universitaet von Genf am 17. Maerz 2004. Die Zahl der Studierenden an Schweizer Hoch- und Fachhochschulen duerfte von gegenwaertig 169 500 bis 2015 um 16 bis 21 Prozent auf 192 000 bis 200 000 Studierende anwachsen - je nach Szenario des Bundesamtes fuer Statistik (BFS). Das Wachstum der Studierendenzahlen wird voraussichtlich bis 2012 kraeftig bleiben und sich danach aufgrund der erwarteten Bevoelkerungsabnahme verlangsamen, wie das BFS am Donnerstag, 31. August 2006, in seinen "aktualisierten Hochschulszenarien" mitteilte. (KEYSTONE/Martial Trezzini)
 SCHWEIZ BFS STUDIERENDE HOCHSCHULEN

On surnomme ce phénomène le papy boom. Depuis quelques années, les baby-boomers atteignent, en masse, l’âge de la retraite, en Suisse. Outre les défis financiers traditionnels auxquels bon nombre de ces retraités doivent déjà faire face, un nouveau défi se profile: le financement des études supérieures de leurs enfants. En effet, les Helvètes ont tendance à faire des enfants relativement tard. Du coup, de plus en plus de ces derniers entrent à l’université ou dans une haute école, alors que leurs géniteurs ont déjà arrêté de travailler ou sont sur le point de le faire.

En 2017, 6000 pères étaient âgés de 45 ans ou plus au moment de la naissance de leur bébé en Suisse, selon l’Office fédéral de la statistique (OFS). En admettant que le taux d’entrée dans les hautes écoles demeure stable (soit 40% des jeunes) dans le pays, plus de 2000 papas retraités seront donc...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias