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Le secteur aérien peine à s'extirper de la crise

Après plusieurs mois cloués au sol et un déficit important, l'aviation civile reste dans un certain marasme. Si l’offre des vols reprend, les compagnies vont continuer la guerre des prix. Avant de les relever?

23 juil. 2020, 00:01 / Màj. le 23 juil. 2020 à 07:16
La demande de vols vers les destinations touristiques commence à revenir, au contraire de celle des vols d’affaires. Les compagnies low-cost s'en sortent un peu mieux que les autres.

Elle ne paie pas de mine, cette boule graisseuse microscopique ornée de pics de protéines aux allures de clou de girofle. Le virus Sars-CoV-2 a pourtant été assez costaud pour clouer sur le tarmac la grande partie de la flotte mondiale pendant des semaines. Il a paralysé le secteur du transport aérien comme jamais. Si les compagnies sortent peu à peu de la catalepsie, leur convalescence sera longue. Les prix suivront-ils ce redécollage? Ou volera-t-on encore pour le prix d’un T-shirt, se demandent les passagers derrière leur masque? Etat des lieux.

L’offre des compagnies va-t-elle s’étoffer?

L’aéroport de Cointrin reprend vie peu à peu. De 6 à 10 lors de la réouverture des frontières en Europe à mi-juin, le nombre de mouvements a grimpé à 148 lundi dernier. C’est encore 70,2% de moins par rapport à la même période de juillet 2019… Cointrin n’a pas les clés pour rouvrir...

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