Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

La connectivité ouvre aussi l’avenir des pays émergents

Dès l’ouverture de la manifestation grisonne, les invités ont largement débattu de l’extension planétaire des nouvelles technologies.

21 janv. 2016, 00:21
Management student Ndeye Mane Toure, 22, uses an internet meeting site to chat with new acquaintances in Senegal, France, and Spain at a cyber cafe in Dakar, Senegal Tuesday, Aug. 8, 2006. Toure chats online to find new friends and possibly to meet a man who will lift her out of Africa to a comfortable life in Europe. (KEYSTONE/AP Photo/Rebecca Blackwell) SENEGAL INTERNET CYBERCAFE

Les pays émergents ne doivent pas être les perdants de la numérisation et de la révolution technologique qui fondent «l’économie 4.0». «La connectivité est trop importante pour la laisser aux riches», estimait ainsi hier Sheryl Sandberg, directrice des opérations de Facebook.

Faut-il avoir peur de la destruction de milliers d’emplois? «Non», a encore assuré l’Américaine lors d’un échange consacré aux impacts de la 4e révolution industrielle, dans le cadre du Forum économique mondial (WEF). La dirigeante croit aux opportunités qui s’ouvrent aussi bien pour les économies en développement que pour les femmes de ces régions.

«Quatre milliards d’humains dans le monde ne sont pas connectés», a-t-elle poursuivi. Le problème n’est pas technique, mais clairement financier, estime la cheffe des opérations de la plateforme sociale, tout en se félicitant d’avoir déjà interconnecté 15 millions d’internautes.

Réduire le nombre de perdants

La révolution numérique a débordé...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias