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L’argent placé au cœur de la présidentielle

Michael Bloomberg, l’un des hommes les plus riches du monde, peut-il s’installer à la Maison-Blanche grâce à sa fortune?

29 nov. 2019, 00:01
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L’entrée de Michael Bloomberg dans la course présidentielle promet d’alimenter le débat sur la prééminence de l’argent dans les élections américaines. Un de ses conseillers l’a affirmé samedi: l’ex-maire de New York, dont la fortune personnelle dépasse les 50 milliards de dollars (environ la même somme en francs suisses), est prêt à dépenser «autant qu’il le faudra pour battre Trump», en novembre 2020. Contrairement à beaucoup de pays européens, il n’y a pas de limite aux dépenses que peut engager un candidat aux Etats-Unis.

La loi américaine interdit à un individu de donner plus de 2800 dollars à un candidat, mais rien n’empêche un candidat de financer sa propre campagne et, comme Michael Bloomberg ou un autre milliardaire en lice, le Californien Tom Steyer, d’y jouer sa fortune. Ceux qui ne sont pas riches peuvent aussi dépenser des centaines de millions de dollars, grâce aux «super PACs», des «comités...

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