Lutter pour le climat en se servant de la blockchain, c’est possible. Et ça a l’avantage de réunir un grand nombre d’acteurs tirant tous à la même corde, dans un souci d’ouverture et de transparence. C’est le credo d’Open Earth Foundation, petite organisation créée l’an dernier aux Etats-Unis, qui se veut pionnière dans ce domaine. Open Earth, c’est l’alliance des technologies numériques émergentes – tels l’internet des objets ou la chaîne de blocs – au service du climat. «La blockchain a des capacités très intéressantes pour les solutions climatiques», explique Katherine Foster, directrice stratégique d’Open Earth. «Mais elle n’est généralement associée qu’à la cryptomonnaie comme le bitcoin. Et cela crée un paradoxe parce que le bitcoin soulève des questions d’impact climatique.»
Le bitcoin et certaines plates-formes blockchain sont connus...