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Les PME neuchâteloises à l’aube de l’uberisation du travail

Taxis, ménages, informatique: l’économie du partage, c’est pas du gâteau.

17 oct. 2016, 01:19
Angestellte arbeiten in einem verglasten Gebaeude der Firma Ernst & Young AG an ihren Schreibtischen, aufgenommen am Montag, 25. Januar 2016, in Zuerich. (KEYSTONE/Ennio Leanza)

Taxis, hôtellerie, ménages, dépannage informatique: la liste des secteurs touchés par «l’uberisation» (voir ci-dessous) ne cesse de s’allonger.

Si l’impact de géants comme Airbnb ou Uber sur l’économie neuchâteloise est limité, une kyrielle de nouvelles plateformes proposent nettoyage, dépannage informatique et autres services grâce au web. Séduisant, pour les entreprises, mais scabreux.

A la Chambre neuchâteloise du commerce et de l’industrie (CNCI), on préfère prendre les devants. Les incertitudes du marché «conduisent certaines entreprises à diminuer la part de contrats fixes au sein de leur personnel», indique Florian Németi, directeur. De plus, de la communication au design, des tâches autrefois marginales prennent «de plus en plus d’importance». Or ces professions font appel à une créativité «qu’il est bon d’aller chercher à l’extérieur de l’entreprise».

Florian Németi constate, «sans encourager les membres à aller dans ce sens», que ce contexte favorise l’engagement de personnel temporaire ou indépendant. Or,...

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