«Faire venir des talents à Neuchâtel, c’est un challenge. Mais en même temps, je n’ai jamais eu un candidat qui a refusé un poste parce que c’était à Neuchâtel, remarque Véronique Leresche-Roy. Nous mettons en avant la mission du CSEM, les valeurs, la culture, ainsi que l’emplacement de l’entreprise dans une magnifique région et près de la gare. En plus, la Suisse est le troisième pays le plus heureux au monde.»
Un ressenti qui n’a rien d’un discours de promotion, car le CSEM a toujours su recruter dans et hors du canton. Preuve en est le volume de candidatures: 2400 par an, alors que l’institution compte 536 collaborateurs, dont 425 à Neuchâtel. A noter qu’une dizaine de postes sont d’ailleurs presque toujours ouverts, invitant les potentiels candidats à se manifester.