Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Choc de la pandémie atténué

Le recul des affaires est moins marqué en Suisse romande que dans le reste du pays, selon une étude des banques cantonales.Le recul des affaires est moins marqué en Suisse romande, selon une étude des banques cantonales.

23 sept. 2020, 00:01
epa08627643 People sit at a restaurant's sidewalk table, set up because indoor dining is still not permitted in the city, in front of a closed designer store on Madison Avenue in New York, New York, USA, 26 August 2020. The global coronavirus pandemic has stopped most tourism to the city, many business in high-end shopping districts are closing, and rents on vacant storefronts are reportedly dropping significantly.  EPA/JUSTIN LANE ArcInfo

L’économie romande va connaître, en raison du confinement de ce printemps et de ses suites, le recul le plus marqué de son histoire, depuis le premier choc pétrolier de 1974. Mais ce plongeon doit être moins marqué que la moyenne nationale, selon une étude des banques cantonales romandes. Publiée hier avec l’appui de l’Institut Crea et du Forum des 100, elle anticipe un plongeon des affaires de 5,7% du produit intérieur brut (PIB) cette année. Le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco) prévoit, pour sa part, un recul de 6,2% à l’échelle nationale.

En revanche, le rebond attendu de l’activité l’an prochain sera, lui aussi, contenu: +4,5% de croissance du PIB en 2021 en Suisse romande, selon les banques cantonales, contre une progression nationale de +4,9% en moyenne, selon le Seco. En dépit de la reprise vigoureuse attendue, le PIB moyen par habitant devrait diminuer sur deux ans de 8650...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias