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Ce que Neuchâtel peut apprendre des villes du Sud

Partout dans le monde, des «smart cities» embrassent les nouvelles technologies espérant juguler les problèmes posés par le développement urbain. Ce nouveau marché est-il au service de la population?

05 févr. 2018, 00:01
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Les technologies nous sortiront-elles de notre condition d’esclave urbain? Trafic, sécurité, gestion de l’eau: on assigne aux données récoltées par les smartphones, caméras de surveillance et autres dispositifs technologiques la capacité de changer la ville, en la rendant intelligente: économe, sans embouteillage, sûre. Pour comprendre comment ces outils transforment les villes, le géographe Ola Söderström a lancé un projet de recherche de trois ans, réunissant des équipes en Afrique du Sud, en Grande-Bretagne et à Singapour. Objectif: savoir comment le concept de «smart city» transforme la politique des villes des pays émergents.

Ola Söderström dit vouloir comprendre «comment le modèle de «smart city» fait évoluer les priorités politiques des villes du Sud.» Certains hommes politiques, comme le premier ministre indien Narendra Modi, en ont fait leur cheval de bataille. «L’intention de transformer 100 villes en «smart city» en Inde a séduit les classes moyennes. Mais elle s’est surtout soldée...

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