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Au secours de la retraite

Face à la baisse des rentes des premier et deuxième piliers, toujours plus de cotisants se tournent vers le troisième.

26 nov. 2019, 00:01
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C’est un petit bulletin rose, arrivé dans votre boîte aux lettres, à côté de tant d’autres. Mais celui-ci sonne autrement, presque comme une douce chanson, celle de la retraite future. Il émane de votre banque (ou de votre assurance) et vous invite à verser quelques milliers de francs sur votre compte de troisième pilier d’ici au 31 décembre, pour pouvoir déduire ce montant de vos impôts.

Arrivant en même temps que les arriérés d’impôts et les primes annuelles de l’assurance maladie, l’appel du troisième pilier «a» n’est pas toujours honoré à la hauteur du montant maximal fiscalement déductible (6826 francs en 2019 pour un salarié ou un indépendant cotisant au deuxième pilier). Mais il rallie de plus en plus d’adeptes. Non pas que les gens aient, dans l’ensemble, plus de moyens disponibles. Mais il apparaît pour beaucoup de gens comme la dernière possibilité, face à la stagnation des rentes...

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