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Prostitution: Le Locle n’est plus la capitale des amours tarifées

La Chaux-de-Fonds tient désormais le haut du pavé dans les Montagnes neuchâteloises, tandis que la prostitution recule au Locle. A Neuchâtel, ce serait la débandade, selon les chiffres officiels.

30 août 2021, 12:03
Au Salon Chez Cindy, en ville de Neuchâtel, on assure que les affaires, impactées par la crise sanitaire, repartent à la hausse.

Si la ville du Locle reste la capitale – autoproclamée – de la Saint-Valentin, elle a cessé d’être la championne cantonale des amours tarifées.

A lire aussi: Capitale de la Saint-Valentin en pole position pour l’amour tarifé

Selon les statistiques communiquées par le Service cantonal de l’emploi, avec une personne pratiquant la prostitution pour 906 habitants, elle arrive désormais en deuxième position des trois villes neuchâteloises.

Plus précisément, dans la Mère-Commune, seules douze personnes vendent leurs charmes, et les salons de massage ne sont plus que cinq. En 2013, 29 femmes y exerçaient encore le plus vieux métier du monde au sein de huit établissements.

Parmi ceux-ci, le Moulin Rose puis le Soleil d’Afrique ont encanaillé l’entrée de la localité, au 42 de la rue Girardet, jusqu’à la fermeture, début 2020.

Au Salon du Plaisir en 2013, lorsque Le Locle était encore la capitale des amours tarifées du canton. Photo:...

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