On tweete bien en 140 signes. Alors présenter un sujet de thèse en trois minutes, de manière vulgarisée et captivante, sur scène, devant un auditoire de non initiés, allez, c’est faisable!
C’était le défi qu’avaient à relever, ce jeudi soir, les seize candidats de la finale suisse «Ma thèse en 180 secondes», qui a eu lieu pour la première fois à La Chaux-de-Fonds.
Et on ne s’y est pas ennuyé une seule fois lors de ces passages de 180 secondes.
Car pour raconter leur sujet d’étude à l’intitulé complexe, tous ont raconté une histoire. Audrey Noireterre, de l’Université de Genève, a narré celle d’un enfant ne voulant pas quitter ses parents pour parler d’ADN et de cancer.
Fiona Laura Rosselet-Jordan a parlé d’un bonhomme devant tout garder en mémoire, en remplissant simultanément mille tâches. «Mais comment fait-il?», se demande-t-elle toujours dans le cadre de sa recherche, puisque la question est...