Le régime libyen a accusé hier l'Otan d'avoir tué 11 civils lors de bombardements menés à 150 km de Tripoli, où se trouve actuellement le président sud-africain Jacob Zuma. Ce dernier devait de son côté discuter avec Mouammar Kadhafi «d'une stratégie de sortie» au succès peu probable. Si ces décès sont avérés, il s'agirait de l'une des plus grosses bavures commises par la coalition internationale depuis le début de l'intervention sur mandat de l'ONU, le 19 mars. Les restrictions imposées aux médias par les autorités libyennes empêchent toutefois toute vérification indépendante. Pour Tripoli, aucune médiation n'est possible hormis celle menée par l'Union africaine qui a déjà présenté une «feuille de route» acceptée par le régime mais rejetée par le Conseil national de transition. / ats-afp
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Votre publicité ici avec IMPACT_medias