«C’est le top de pouvoir allier le football et les études. Cela m’apporte un équilibre et me permet de nourrir ma curiosité. Quand je suis revenu à Neuchâtel en septembre 2015, c’était un challenge de commencer une formation universitaire. Le moment était venu et tout est réuni pour que cela soit possible. La proximité entre le stade et l’université est idéale. Le reste est une question de volonté, d’organisation.
J’avais quelques doutes quant à ma capacité à m’y remettre. Mais, comme j’ai passablement bougé dans ma carrière, que j’ai côtoyé et échangé avec des gens de différentes cultures, mon bagage était tout de même bien rempli. J’ai également toujours été animé par cette volonté d’apprendre, de rester informé. J’ai vite remarqué que je n’étais pas largué.
A 25 ans, je n’aborde pas les cours comme mes camarades. J’en vois certains qui écoutent à moitié. Je m’investis à fond pour concilier...