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La chasse aux points va reprendre

Les malheurs du FC Sion ne sont pas de bon augure pour les "rouge et noir".

31 déc. 2011, 00:01
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Lorsqu'il est arrivé, personne ne le connaissait. Aujourd'hui, nul n'ignore son patronyme. De discret, l'homme aux millions à l'étranger est devenu une icône pour un nombre restreint d'inconditionnels, un paria du foot suisse pour d'autres.

Mais reprenons le parcours de Bulat Chagaev depuis qu'il occupe le devant de la scène avec Neuchâtel Xamax. L'homme s'annonce lui-même comme étant à la tête d'une fortune insondable. Très vite, il vitupère contre ceux qui ont l'outrecuidance de s'interroger sur l'origine de ses fonds. On ne traite pas de la sorte une personnalité qui nourrit d'ambitieux projets européens pour un club de campagne. Rapidement, ses manières le trahissent. On s'intéresse alors à lui de près. Et on découvre que le nabab de Xamax n'est que de passage en Suisse. Qu'il ne peut y rester plus de 180 jours par an. Le fait qu'il ne paie pas un centime d'impôts en Suisse ne semble pas...

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