«Deux semaines de pause, c’est vraiment la limite minimum. Elles permettent à peine de se remettre de tous les petits traumatismes de la saison, ces tendinites, douleurs au dos et autres cloques, surtout sur un terrain synthétique à 70 degrés! Cette année, en plus, cette période a été très particulière pour moi. Mon épouse arrivait au terme de sa deuxième grossesse. Nous sommes donc restés à Neuchâtel, où j’ai bien pu profiter de la vie de famille en jouant notamment avec Roman, mon fils de deux ans et demi. La nature a très bien fait les choses: la petite Belén est née au terme de la première semaine de vacances. Nous les avons donc commencées à trois et finies à quatre. Un grand bonheur, mais aussi une source de fatigue. Les pères savent de quoi je parle.
Moment d’analyse
Durant les vacances, je pense avant tout à reposer mon corps....