«Les entraîneurs peuvent aider la carrière d’un joueur. Personnellement, j’ai eu la chance de tomber sur des gens avec lesquels cela fonctionnait.
Un de ceux qui ont beaucoup compté pour moi est Philippe Perret. Il est venu me chercher à deux reprises: la première fois lorsque j’évoluais à Meyrin, lors de ma première expérience en Challenge League en 2004-2005. Je l’avais impressionné lors d’un match à Serrières, la Charrière étant impraticable. Puis, il s’est souvenu de moi en 2010 en me faisant venir de Neuchâtel à Bienne. Il m’a donné ma chance comme premier gardien et, depuis, j’ai toujours été titulaire. Une relation spéciale s’est nouée entre nous.
Opération marketing
Un autre entraîneur envers lequel je me sens reconnaissant s’appelle Gérard Castella. Alors que l’équipe venait de tomber en Challenge League (saison 2006-2007), il n’a pas hésité à me donner ma chance au détriment de Gentile, qui avait joué en...