En signant au HCC, pensiez-vous arriver à 300 matches?
J'avais un bon sentiment quand je suis venu ici assister Paul-André. J'avais senti que c'était une place où le hockey est important. Après, si le succès et les victoires viennent, ce n'est pas dû qu'à l'entraîneur. C'est plutôt un tout. Je ne pensais toutefois pas faire aussi bien que ça, compte tenu de la complexité de notre métier et de la pression. Cela démontre que le travail sur le long terme paie. La stabilité est importante.
D'autres clubs s'inspirent d'ailleurs de votre exemple. Pourquoi?
Parce que cela devient de plus en plus difficile de bâtir une bonne équipe. Il faut donner du temps et persévérer, répéter. Si on change tout le temps, on n'arrive pas à construire. Le facteur humain est aussi capital. Si j'avais fait un one-man-show, je ne serais plus là. J'ai toujours fait participer les gens avec qui...