Les éclats de rire des bambins se sont faits rares à la Maison des contes de Cernier depuis l’apparition du coronavirus. Mais sa fondatrice Arlette Gentil ne s’est pas laissée abattre.
Après avoir été fermé durant le semi-confinement de mars, cet espace, créé en 2017 au rez-de-chaussée de sa demeure, peut désormais accueillir cinq personnes, conteuse comprise. Et faute de pouvoir recevoir le public dans sa demeure, cette Vaudruzienne a aussi conté ses histoires dans plusieurs collèges primaires, de Vilars à Coffrane ou à Neuchâtel. «Plusieurs écoles m’ont appelée, c’est une belle opportunité», se réjouit-elle.
En savoir plus: le site de la Maison des contes Cernier
«Gais et vivants malgré la pandémie»
A travers Lison, un personnage récurrent dans ses contes, Arlette souhaite apporter une touche d’espoir: «Cette fillette veut vivre dans un monde parfait et elle va prendre conscience que ça n’existe pas. Mais ce n’est pas pour autant...