«Au Val-de-Travers, il y a un esprit plus chaux-de-fonnier que neuchâtelois. Il y a un côté fier de sa région. Beaucoup de jeunes ici, lorsqu’ils cherchent un travail, veulent le trouver au Val-de-Travers, alors qu’ils pourraient faire carrière ailleurs. Il y a vraiment un attachement particulier.»
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Pour le pianiste Marc Pantillon, le Val-de-Travers ne se résume pas au Creux-du-Van ou à l’absinthe – «c’est justement trop cliché». Non, pour l’habitant de Môtiers, les meilleurs ambassadeurs du Vallon sont ses habitants et sa nature omniprésente.
«Un refuge»
«Pour moi, le trait d’union de la vallée, c’est la forêt. Elle en fait tout le tour et pour moi, c’est un refuge. Et il y a aussi l’Areuse. Quand il fait beau, on voit tout le monde sur ses rives, sur les pistes cyclables et sur les chemins pédestres.»
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