Les adversaires de l'abandon du nucléaire craignent un désastre financier si aucun repreneur n'est trouvé d'ici 2034. Zurich devrait alors continuer de payer sa part des frais d'exploitation, mais ne pourrait plus utiliser l'énergie atomique ni la vendre.
La sortie du nucléaire figurait déjà dans les statuts de la ville, les citoyens s'étant prononcés en 2008 pour une société à 2000 watts. Suite à la catastrophe de Fukushima en 2011, le PS, les Verts et le PVL souhaitaient toutefois y ajouter une date de sortie contraignante.