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Une cellule d’écoute envisagée

L’affaire Yannick Buttet pousse l’Assemblée fédérale à vouloir faciliter la dénonciation de cas de harcèlement sexuel.

12 déc. 2017, 00:45
Roger Koeppel, SVP-ZH, Mitte, spricht mit Adrian Amstutz, SVP-BE, rechts, und Alfred Heer, SVP-ZH, links, waehrend einer Debatte im Nationalrat, waehrend der Wintersession der Eidgenoessischen Raete, am Donnerstag, 7. Dezember 2017 in Bern. (KEYSTONE/Christian Merz) SCHWEIZ SESSION NATIONALRAT

Après l’Assemblée nationale française secouée par l’affaire Baupin, le Parlement fédéral ébranlé par le cas Yannick Buttet (PDC/VS) devrait suivre le mouvement: constituer une cellule d’écoute à l’usage des parlementaires harcelées. Le dossier est en train de passer à la vitesse supérieure.

Dominique de Buman (PDC/FR), président du Conseil national, et Karin Keller-Sutter (PLR/SG), présidente du Conseil des Etats, ont consulté les chefs de groupe hier après-midi. Composée de trois membres de chaque bureau du National et des Etats (présidents compris), la Délégation administrative (DA) du Parlement fédéral devrait se prononcer aujourd’hui sur la création d’une entité.

Avant le retour de Buttet

Organe de surveillance du Parlement, la DA doit prendre une décision, car elle ne pourra pas se réunir à nouveau avant février 2018, date de la prochaine session. Or, la structure devrait être mise en œuvre avant le retour éventuel de Yannick Buttet, en congé maladie depuis que...

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