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Un travail pour la paix au Mali

Le Neuchâtelois Didier Berberat représente le Conseil fédéral.

29 août 2016, 01:16
In this July, 27, 2013 photo, United Nations peacekeepers stand guard at the entrance to a polling station covered in separatist flags and graffiti supporting the creation of the independent state of Azawad, in Kidal, Mali. A bomb explosion killed several members of the U.N. peacekeeping mission in Mali in the troubled northern city of Kidal, a spokesman for the mission said Saturday, Dec. 14, 2013. (AP Photo/Rebecca Blackwell) MALI ATTACK

Depuis octobre 2013, le conseiller aux Etats Didier Berberat est envoyé spécial de la Suisse pour le Sahel, un mandat d’expert, validé par le Conseil fédéral (lire ci-dessous). Il a travaillé à l’élaboration de l’accord de paix au Mali. «Au début, quand j’ai commencé d’aider au processus, il s’agissait de voir comment la Suisse pouvait s’engager. Elle est souvent intervenue dans le cadre de la sécurité humaine et la promotion de la paix», relève-t-il.

Comment le processus de paix se développe-t-il?

C’est un processus très lent. Il y a une impatience certaine de la communauté internationale. Nous pensions au départ que cela durerait une année environ. Finalement, l’accord a été signé à Alger l’année dernière. Maintenant, il faut concrétiser.

Vous rendez-vous fréquemment sur place?

Je me rends au Mali tous les deux mois environ. La dernière fois, c’était à fin juin-début juillet. Pendant longtemps, j’ai rencontré les parties séparément....

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